« Chers amis, nous aimons l’Europe. Ceux de ma génération l’ont vu naître sur les décombres de la Seconde Guerre mondiale. J’ai sincèrement peur aujourd’hui de la voir mourir.
Face à la recomposition politique et au clivage que veut nous imposer le Nouveau Monde : entre d’un côté de pseudo-progressistes amateurs et, de l’autre, des populistes rétrogrades, je garde la conviction que la singularité centriste, la voie intermédiaire, reste toujours la meilleure solution pour la France et pour les Français. »
Restons forts et déterminés, malgré les aléas. Le Centre, l’UDI, n’en finissent pas d’exister alors que d’autres n’en finissent pas d’annoncer notre disparition.
« Le 26 mai 2019, nous devrons leur montrer que nous sommes toujours là ! «
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